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Lozere: Des Monts de Margeride au Mont Lozère en raquettes

Le séjour

Encore aujourd’hui, la Margeride demeure presqu’aussi inconnue qu’il y a deux siècles. On se souvient parfois qu’il y eut une « Bête » féroce qui fit parler d’elle avant la Révolution française, quelque part dans le Massif Central : c’était ici, en Gévaudan, aujourd’hui la Lozère !
De nos jours, la Margeride est encore moins peuplée qu’à cette époque, et si le loup refait parler de lui, les animaux les plus exceptionnels que l’on pourrait y rencontrer sont peut-être les Aurochs ou les Bisons d’Europe…
Vaste massif granitique de plus de 70 km de long, d’une altitude comprise entre 1000 et 1551 m, réputée pour ses hivers bien marqués, elle offre des paysages et des histoires inattendues et remarquables. Depuis les sommets, le panorama n’est pas en reste, des Monts du Cantal jusqu’aux Alpes…
La Margeride se termine, au Sud, par une dépression où viennent se rencontrer les trois plus grands bassins fluviaux de France, Rhône, Loire et Garonne, rien que ça !
Au-delà, ce sont les Monts Lozère, haut lieu du Parc National des Cévennes, qui offrent une longue croupe débonnaire où l’immensité du paysage donne l’impression de marcher plus dans le ciel que sur Terre. Les lointains enneigés des Alpes toutes proches, et les crêtes bleutées des Cévennes libèrent la vision, et l’imagination. Ici, les légendes sont poussées par le vent, et les clochers de tourmente étaient le salut du voyageur égaré…
Depuis plus de 5000 ans, dans cette région perdue, l’activité humaine est intense, malgré des conditions parfois difficiles. Les nombreux menhirs, ou les voies millénaires de transhumance des troupeaux venant du Languedoc marquent les paysages. Et les habitants ont peuplé ces hautes terres de solides bâtisses bien adaptées à ces conditions, en domestiquant le granite, les
schistes ou le calcaire. L’altitude, le climat particulier aux influences diverses, viennent renforcer la beauté de ces paysages…
C’est dans ce monde méconnu, dans ces grands espaces lozériens encore « sauvages », que nous vous proposons une découverte hivernale tranquille. Et, bien sûr, sans oublier des moments d’une grande dangerosité : la restauration, haute en qualité et inventivité, à base de produits locaux de caractère…

JOUR 01

Accueil à la gare SNCF de Langogne. Transfert jusqu'à notre hébergement. Installation, présentation des lieux et du séjour, premières dégustations...

JOUR 02

Première randonnée de mise en jambes et de réglage du matériel. En fonction de l'enneigement, départ à pied de l'hébergement. Parcours parmi les forêts jusque sur les crêtes de Margeride, où nous croiserons parfois, malgré l'isolement, quelques hameaux ou grande ferme perdue.
(4-5 h de marche environ, 350 m de dénivelée environ à la montée et à la descente).

JOUR 03

Court transfert. Première randonnée panoramique en Margeride qui devrait nous mener sur les hauteurs du massif de la Gardille (1503 m). Vues sur les Monts Lozère, les Alpes, et le Mont Ventoux au-dessus des brumes de la vallée du Rhône.
(4-5 h de marche environ, 300 m de dénivelée environ à la montée et à la descente)

JOUR 04

Court transfert. Toujours plus haut, avec le point culminant de la Margeride, le Truc de Fortunio (1550 m), dominant le vaste bassin du lac de Charpal aux ambiances nordiques ou canadiennes. Forêts, crêtes, landes enneigées : diversité et panorama, depuis les Monts du Cantal jusqu'aux Alpes.
(4-5 h de marche environ, 250 à 300 m de dénivelée environ à la montée et à la descente)

JOUR 05

Transfert. Les vastes crêtes panoramiques des Monts Lozère, et le sommet de Finiels (1699 m) point culminant du massif. Parcours entre ciel et neige, avec une vue impressionnante jusqu'aux Alpes, Monts du Cantal, moutonnement bleuté des Cévennes... au milieu de formes étranges sculptées par la neige et le vent.
(5 h environ de marche, 350 m de dénivelée à la montée et à la descente)

JOUR 06

Transfert. Nouveau parcours sur les crêtes enivrantes des Monts Lozère, vers l'Est, vers la source du Tarn et le pic Cassini, avec, en ligne d'horizon, les Alpes enneigées... Et si le vent est passé par là, les paysages seront féeriques...
(5-6 heures de marche environ, 250 m de dénivelée environ à la montée et à la descente).

JOUR 07

Fin du séjour après le petit déjeuner, transfert aux gares SNCF (Langogne, Mende...).

COMPLEMENT DE PROGRAMME

Plus encore en hiver qu’en été, à cause de la neige, le déroulement et les itinéraires sont donnés à titre indicatif : ils peuvent être modifiés en cas de mauvaises conditions météorologiques (surabondance ou manque de neige...), ou pour toutes conditions pouvant être préjudiciables à la sécurité d’un·e ou plusieurs participant·es.

Séjour Raquette en étoile

7 jours / 6 nuits


Encore aujourd'hui, la Margeride demeure presqu'aussi inconnue qu'il y a deux siècles. On se souvient parfois qu'il y eut une « Bête » féroce qui fit parler d'elle avant la Révolution française, quelque part dans le Massif Central : c'était ici, en Gévaudan, aujourd'hui la Lozère !
De nos jours, la Margeride est encore moins peuplée qu'à cette époque, et si le loup refait parler de lui, les animaux les plus exceptionnels que l'on pourrait y rencontrer sont peut-être les Aurochs ou les Bisons d'Europe...
Vaste massif granitique de plus de 70 km de long, d'une altitude comprise entre 1000 et 1551 m, réputée pour ses hivers bien marqués, elle offre des paysages et des histoires inattendues et remarquables. Depuis les sommets, le panorama n'est pas en reste, des Monts du Cantal jusqu'aux Alpes...
La Margeride se termine, au Sud, par une dépression où viennent se rencontrer les trois plus grands bassins fluviaux de France, Rhône, Loire et Garonne, rien que ça !
Au-delà, ce sont les Monts Lozère, haut lieu du Parc National des Cévennes, qui offrent une longue croupe débonnaire où l'immensité du paysage donne l'impression de marcher plus dans le ciel que sur Terre. Les lointains enneigés des Alpes toutes proches, et les crêtes bleutées des Cévennes libèrent la vision, et l'imagination. Ici, les légendes sont poussées par le vent, et les clochers de tourmente étaient le salut du voyageur égaré...
Depuis plus de 5000 ans, dans cette région perdue, l'activité humaine est intense, malgré des conditions parfois difficiles. Les nombreux menhirs, ou les voies millénaires de transhumance des troupeaux venant du Languedoc marquent les paysages. Et les habitants ont peuplé ces hautes terres de solides bâtisses bien adaptées à ces conditions, en domestiquant le granite, les
schistes ou le calcaire. L'altitude, le climat particulier aux influences diverses, viennent renforcer la beauté de ces paysages...
C'est dans ce monde méconnu, dans ces grands espaces lozériens encore « sauvages », que nous vous proposons une découverte hivernale tranquille. Et, bien sûr, sans oublier des moments d'une grande dangerosité : la restauration, haute en qualité et inventivité, à base de produits locaux de caractère...

ACCUEIL

En gare SNCF de Langogne le jour 1 à 17 h 30.

Accès au point de rendez-vous : gare de Langogne (L'Habitarelle, Chateauneuf-de-Randon) :
-En voiture:
NB - En Lozère, en hiver, il est prudent d'avoir des chaînes avec vous si vous n'avez pas de pneus neige.

Pour Mende ou Langogne : Autoroute A75 depuis Clermont-Ferrand ou Béziers, sortie Mende.
Nationale 88 : depuis St Etienne, Le Puy en Velay, ou bien depuis Toulouse (via A68) puis Albi, Rodez, Séverac le Château (et un bout de A75)
Attention : le passage du col de la Pierre Plantée (1275 m), sur la nationale 88 entre Mende et Langogne, peut nécessiter des équipements hivernaux (pneus neige)

Votre véhicule sera en sécurité sur le lieu d'hébergement.

-Train:
Gare de Langogne (ligne Paris - Nîmes via Clermont ou ligne Clermont - Mende via Le Puy en Velay, autocars)
Gare de Mende (ligne Paris-Béziers via Clermont)

DISPERSION

Dispersion le Jour 7 vers 10 h en gare SNCF de Langogne.

NIVEAU

Séjour facile, pour tout·e marcheu·se·r de niveau moyen, pratiquant la marche en été: étapes de 3 à 5 heures de marche à un rythme normal, avec des dénivelées de 150 à 400 m environ à la montée et autant à la descente. La marche avec raquettes à neige ne présente aucune difficulté.

HEBERGEMENT

En hôtel confortable 3***, base chambre double partagée par deux personnes.

RESTAURATION

Restauration riche, de grande qualité, avec l'inventivité du chef, à base de produits locaux de caractère.
Petit déjeuner buffet copieux (salé, sucré). Pique-niques à midi (avec boisson chaude), préparés, et portés dans le sac de la journée. Repas du soir composé de deux plats, fromage et dessert.

ENCADREMENT

Accompagnateurs diplômés d’Etat, spécialistes de la raquette à neige, vivant dans la région. Une trousse de secours pour les premières urgences est transportée en permanence.

GROUPE

5 à 8 personnes.

TRANSFERTS INTERNES

Transferts réalisés avec un véhicule adapté à la taille du groupe. Parfois, dans cette région, il peut arriver que la circulation routière soit difficile, la viabilité de certains axes pouvant ne pas être garantie entre 18 h et 8 h : c'est une réalité et nous vivons avec, simplement !

PORTAGE DES BAGAGES

Dans le sac à dos, le pique-nique de midi et les affaires personnelles pour la journée.

MATERIEL FOURNI

Raquettes à neige, modernes et adaptées, avec bâtons.

EQUIPEMENT INDIVIDUEL A PREVOIR

Quelques conseils pour votre confort, et la sécurité:
En hiver, pour lutter contre le froid, il faut avant tout lutter contre les déperditions de chaleur (donc d’énergie), qui sont aggravées par l’humidité et le vent.

La tête doit faire l’objet de toutes les attentions: si l’on a froid aux pieds et aux mains (sauf bien sûr dans le cas de problèmes spécifiques à ces parties du corps), c’est d'abord parce que la tête a froid, et quelle diminue la circulation sanguine dans les extrémités (vasoconstriction), pour concentrer le précieux liquide et sa chaleur aux centres vitaux qu’elle abrite... Donc, le
couvre-chef adapté s’impose.

L’humidité au niveau de l’épiderme augmente les échanges thermiques entre notre corps et l’extérieur, à notre défaveur en hiver. Il faut donc lutter contre les excès de transpiration (ne pas être trop couvert), et éviter de la maintenir sur le corps (utilisation de sous-vêtements hydrofuges, évacuant l’humidité, qui donnent une sensation de chaleur, même humides).

Le vent, par sa capacité à accroître fortement les échanges thermiques avec l’extérieur, constitue l’élément contre lequel il faut se protéger absolument. Par exemple, avec une température de -5°C, un vent de seulement 30 km/h équivaut, pour le corps humain, à se retrouver à une température de - 13°C... Un simple vêtement coupe-vent annulera une grande part de ces effets.

Raquettes: le modèle fourni est récent, léger, facile à mettre avec tous types de chaussures. Les bâtons sont souvent employés pour une marche plus aisée (mais le terrain est toujours facile). Vous pouvez utiliser les vôtres, si vous en possédez. Si non, ils peuvent vous être fournis avec les raquettes.

Chaussures: les chaussures devront être montantes, bien sûr, et pouvant accueillir le pied avec une paire de chaussettes confortables et chaudes (voir les conseils pour le choix des matières). Les chaussures modernes (matériaux synthétiques, Gore-Tex, etc.) conviennent, à la condition de ne pas être trop légères (épaisseur suffisante pour une protection contre le froid). Les chaussures en cuir conviennent aussi, à la condition d’être souples et d’avoir déjà servi sans problème. Les chaussures à coque plastique (avec chausson interne), bien qu’un peu rigide, peuvent également convenir, si déjà utilisées.
Des guêtres pourront parfois être aussi utiles.

Vêtements:
Pour le corps, l’idéal est la combinaison vestimentaire “trois couches”, que l’on fera varier en fonction de la température et du
vent ; elle procure confort et chaleur, même par très basses températures :
-tee-shirt, dans une matière évacuant la transpiration (synthétique, type “Capilène”...) ou mieux en laine fine (type mérinos, mélanges soie etc), col montant (zip) et manches longues (coton à proscrire en hiver)
-sweet et/ou veste légère en fourrure polaire, chaude, transférant aussi l’humidité (type “Polartec” 100 ou 200...) ;
-vêtement coupe-vent, sur l’ensemble. Vous avez le choix : Gore-Tex (non indispensable) ou toutes autres matières efficaces pour le vent, et un minimum respirantes (il faut évacuer un maximum de la vapeur que nous produisons durant l'effort sous peine de garder cette humidité sur le corps).
Dans le sac: un tee-shirt de rechange, une polaire supplémentaire en cas de grand froid (Polartec 200 ou 300), ou un anorak chaud, pour les arrêts (c’est du volume, mais cela ne pèse pas).
Pour les jambes : un collant chaud, qui peut se porter seul s’il n’y a pas de vent, mais non obligatoire si vous avez un bon.

-un pantalon coupe-vent, éventuellement imperméable, (éventuellement suffisamment chaud pour ne pas nécessiter
de collant). La combinaison intégrale, type ski de fond, ou “baby-gros” en polaire (quel plaisir !) présente plus d'inconvénients que d'avantages. La combinaison de ski de piste n'est pas adaptée.

Gants: Il faut juste savoir que des moufles, dans lesquelles les doigts peuvent se toucher, sont plus chaudes que des gants à doigts, par grand froid (ou si vous êtes sensible).
L’idéal:
-gants classiques, (cuir à proscrire) avec doigts, chauds, avec la possibilité de les mettre avec des sous-gants chauds ; il existe des modèles en polaire avec recouvrement en “Wind stopper”, pour couper le vent; ou mieux (lorsque l'on a souvent froid aux doigts) moufles chaudes, toile coupe-vent à l’extérieur, que l’on peut porter avec des sous-gants; les gants en laine serrée, épais, sont aussi valables (Mais n'oubliez pas : si vous avez froid aux mains, c'est souvent parce que la tête n'est pas assez
protégée !)
-sous-gants en soie, ou en matière synthétique moderne, chaude et hydrofuge (type “Capilène”).
Couvre-chef: pièce capitale: protéger la tête est la chose la plus indispensable, la première à réaliser;
-bonnet, ou casquette chaude, efficace (laine, fourrure polaire...), pouvant se mettre en cagoule si vous n’avez pas de “manchon” pour protéger le nez et la bouche, étanche au vent si possible, protégeant aussi les oreilles. La capuche du vêtement coupe-vent pourra compléter l’étanchéité du bonnet (mais n'est pas suffisante toute seule).
Chaussettes : on trouve des textiles hydrofuges qui évitent de garder l’humidité au niveau des pieds; mais des laines naturelles traitées sont également très efficaces (avec bouclette fine sous le pied de préférence) (coton : à proscrire).

Equipements divers:
-Lunettes de soleil, car la réverbération sur la neige peut-être terrible.
-Bouteille “Thermos”, minimum 3/4 de litre par personne (le modèle “Camping Gaz n’est pas adapté aux grands froid), et une gourde. Le « camel-bag » n'est pas conseillé pour le vrai hiver : son eau va geler très rapidement.
-Petite pharmacie personnelle avec élastoplast, antalgique, antidiarrhéique, crème solaire et pour le froid (lèvres...).
-Morceau de “Karrimat” (ou trois épaisseurs de plastique à bulle, ou toute autre matière légère et imputrescible) plié en deux (de la longueur du dos de votre sac à dos) : un confort inimaginable pour s'asseoir sur une surface froide
-une couverture de survie (type support plastique aluminisé)
-un sac poubelle de la taille du sac.
-Sac à dos pour la journée (vêtements, boisson, en-cas...) de 35 à 45 l minimum. Les vêtement ne pèsent pas mais représentent du volume; il est indispensable qu’ils soient protégés dans le sac, qui ne devra donc pas être trop petit (un sac de 45 l ne pèse guère plus qu’un de 30, et il a l’avantage d’être plus confortable pour le dos).
-Gobelet, gamelle (type boîte plastique avec couvercle), couverts... (gamelles et quarts de préférable dans d'autres matières que le métal... qui est un trop bon conducteur du froid... ou du chaud).
-Lampe (frontale), avec piles (facultatif)
-Grand sac pour l'ensemble de vos affaires personnelles, style sac marin.
-Paire de chaussures pour l’hôtel (paire légère).
-Vêtement de pluie: peut être le même que le coupe-vent, ou bien une cape.
-Trousse de toilette, serviette,... Maillot de bain et sandales de piscine, éventuellement si les thermes sont ouverts...
... Et les autres vêtements de rechange dont vous avez l’habitude.

DATES ET PRIX

Voir l'ensemble des dates et prix directement sur notre site internet: www.sudrandos.com.

LE PRIX COMPREND

- l’hébergement en hôtel 3*** confort, base chambre double partagée
- la restauration depuis le repas du soir du Jour 1 jusqu'au petit déjeuner du Jour 7 ; pique nique à midi, sorti du sac
- l’encadrement
- les frais d'encadrement et d'organisation
- les transports mentionnés
- les raquettes à neige.

LE PRIX NE COMPREND PAS

- les boissons pendant et en dehors des repas
- toute visite ou activité non prévue dans le programme (ou précisée comme « possibilité »)
- les assurances
- les dépenses à caractère personnel
- les pourboires
- les éventuels suppléments (chambre individuelle, groupe inférieur à 5 personnes).

Assurances

  • Assurance annulation : 3,4% du voyage
  • Assurance frais de recherche, secours, et rapatriement : 2% du voyage
  • Assurance multirisque : annulation, bagages, retard transport, recherche et secours, assistance interruption de séjour : 4,8% du voyage

Toutes nos assurances incluent une extension « épidémies ».

Pour ce voyage, nous vous recommandons notre assurance multirisque, spécialement étudiée pour le voyage d’aventure.

Attention, ces contrats s’adressent uniquement aux personnes dont le domicile principal est situé en France et en Europe.

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CARTE

Bibliographie :
- F. FABRE, La Bête du Gévaudan. éd. De Borée (Terre de Poche), 2002
- G. CROUZET, La grande peur du Gévaudan, éd. De l'auteur, 2001
- J.-M. MORICEAU, La Bête du Gévaudan. éd. Larousse, 2008 (le meilleur ouvrage, à notre avis...)
- J.-M. MORICEAU, La Bête du Gévaudan. La fin de l'énigme ? éd. Ouest-France, 2015. Encore plus à jour !
- Renaud CAMUS, Le Département de la Lozère, 1996. Ed. P.O.L. (A lire, même si son auteur a malheureusement dérivé...)
- Robert Louis STEVENSON, Voyage avec un âne dans les Cévennes, Poche
Pour vous y retrouver... Cartographie:
Carte touristique générale : Lozère (col. Découvertes régionales de l'I.G.N.) au 1/100.000
Cartes topographiques de l'I.G.N., au 1/25.000 : 2739 OT, 2637 E, 2738 O, 2738 E

COTE PRATIQUE

Quelques réflexions sur la pratique de la raquette à neige:
et sur les régions montagneuses en hiver
La marche en raquette est une pratique à la portée de tout-e marcheur-se : elle ne nécessite pas de connaissance technique préalable, si ce n’est... savoir marcher. Vous acquerrez en quelques minutes les nouvelles dimensions de vos “pieds”, et en quelques minutes de plus, vous ne vous apercevrez même plus que vous utilisez ces instruments.
Très rapidement vous maîtriserez les rares mouvements techniques (chausser les raquettes, par exemple !), et trouverez beaucoup de plaisir dans une pratique ludique, bien moins “dure” que la marche en montagne l’été, et redécouvrirez les plaisirs d’un corps en mouvements harmonieux...

Que vous débutiez dans la pratique de la raquette, ou que vous ayez déjà pratiqué, ce séjour peut vous convenir : pour découvrir cette activité, ou pour visiter une nouvelle région... ou les deux à la fois.
Quant à la montagne hivernale, elle vous apparaîtra sous un aspect très différent de l’été. Peut-être semble-t-elle austère : le froid, la neige, le vent ... comme semblerait austère l’immensité de l’Océan lorsque l’on n’a jamais navigué. Mais ce n’est qu’une apparence : la vie continue pour la plupart des animaux, les végétaux sont à peine “endormis”, les paysages sont transformés et
changeants, souvent féeriques... Ils ne laissent pas indifférents.
La neige elle-même vit, se transforme. La connaître, la faire parler, est une partie du métier d’Accompagnateur en Montagne. La déchiffrant, il pourra apprécier aussi l’intérêt ou le risque qu’il pourra y avoir à aller à tel endroit plutôt qu’à un autre, dans un souci permanent de sécurité.
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